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Chroniquart
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Chroniquart a été crée afin de combler un manque de visibilité des artistes en arts visuels, sur le web, ainsi que dans les médias, en général.
Composé de nombreuses rubriques, le site Chroniquart offre un bon survol général, sur les arts visuels. De l'Histoire de l'art, aux grands courants artistiques, ce site présente des sujets intéressants, pour les visiteurs. Il peut incontestablement, augmenter les connaissances en art, de beaucoup d'internautes, novices en la matière, et aussi rejoindre les auditeurs plus expérimentés. Il suffit de le parcourir . Cependant, Chroniquart s'intéresse, en tout premier lieu, à la présentation de pages sur des artistes de partout. En effet, ce site met une page à la disposition d'artistes, intéressés à se faire connaître davantage. Pour ce faire, ils doivent soumettre cinq photographies d'oeuvres. Chroniquart rédige un article à des fins explicatives, pour stimuler la compréhension des oeuvres, chez le visiteur. Un lien en dur, dirigé vers le site officiel des artistes, est ajouté dans leur présentation. Ces pages fournissent plusieurs informations biographiques, bonnes à savoir, pour les curieux. la seule condition exigée pour bénéficier d'une page: produire de manière continue. Les auteur d'oeuvre unique, s'abstenir. les services du site sont entièrement gratuits. Artistes n'hésitez pas; soumettez vos oeuvres. Chroniquart est un bon site pour la visibilité des arts visuels.art, oeuvres, présentation, soumission, article, visuelLien direct vers ChroniquartRemonter Chroniquart en haut de la listeChroniquart
Bienvenue sur le site Chroniquart, le site des artistes inconnus du grand public.
Le moyen Empire.
Au Moyen Empire, on commence à graver des hiéroglyphes sur la pierre des sarcophages, en larges bandelettes . Sur le sarcophage en bois, on peint des yeux afin que le mort puisse voir au-dehors. C`est surtout lors de la XV11ieme dynastie, que l`on verra sur les sarcophages mommiformes, la déesse vautour Nekhbet protégeant le mort. Ces sarcophages nouveaux genres deviendront la norme. Ils ne seront plus de simples sarcophages intérieurs et de plus, les morts y seront étendus sur le dos. Dans l`Ancien Empire, ils reposaient sur le flanc. CLIQUER SUR L`IMAGE POUR AGRANDIR. Photo: Musée de Londres.
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Avec le Nouvel Empire, la richesse et la somptuosité des ornements s`accentuent. Les déesses Isis et Nephtys sont représentées en haut et en bas des sarcophages. Le Nouvel Empire est l`époque qui marque le mieux la progression des sarcophages momiformes. Ils sont généralement au nombre de trois par sépulture et épousent parfaitement la forme humaine.
Cliquer sur l`image pour agrandir. Regardez le premier couvercle des sarcophages, à la hauteur du ventre, la déesse vautour Nekhbet. photo: Le sarcophage en Egypte.
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Troisieme sarcophage de Toutankhamon. Celui-ci est en or massif.
source : Le sarcophage en Egypte. Photographies: Musée Louvres et Londres ainsi que le site : Le sarcophage en Egypte. http://www.legypteantique.com/sarcophages.php
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La sculpture sur bois.
On ne peut parler de l`art aborigène sans aborder le sujet de la sculpture sur bois. Il s`agit d`une production relativement rare, au nord du continent: région de Maningrida et de Melville Island. Ces régions très boisées fournissent les artistes en matériaux. Les artistes de ces régions sont spécialisés dans la reproduction des "esprits mimi", esprits des anciens,marins et cosmiques. Les sculptures sont en bois, peintes a l`ocre naturel, ou avec de la peinture acrylique. Elles sont de formes élancées. A Melville Island, les Tiwis travaillent autrement. Ils sculptent des personnages en pieds. Ces figures totémiques, sont associées à l`esprit protecteur de leur environnement. On retrouve aussi des figures animales d`oiseaux, peintes de couleurs vives. Ci-haut: autre sculpture de Johanin Bangdor. ( source des textes: Wikipédia.
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Le fossé.
Dépression peu profonde, arrondie. On n`avait pas accordé beaucoup d`importance `a la forme géométrique du fossé. Vu du ciel, celui-ci suggère un chapelet de saucisses, en rond dans une assiette. Au fond du fossé, ont été découverts des restes d`outils ayant servi `a l`excavation: pioches en bois de cervidés, pelles faites avec des omoplates de bovins. En surface , on a retrouvé des tessons de poteries, des monnaies romaines. On a extrait du fossé les matériaux nécessaires pour la construction de l`enceinte circulaire. Avec un grand souci de précision géométrique. L`érosion a depuis longtemps donné `a cette enceinte, l`apparence qu`elle a aujourd`hui.
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Le grand cercle de Sarsen.
Ce cercle est constitué de trente monolithes surmontés de trente linteaux. L`ensemble forme ainsi un anneau continu et suspendu au sommet de la structure. Les pierres verticales sont légèrement plus larges vers le bas, afin de produire un effet de perspective constant, tandis que les linteaux sont taillés en coude, afin de donner la forme circulaire au monument. La taille de ces pierres est grossière et rustique. Dans ce décor, on peut aisément imaginer la réunion de vieux druides à barbe blanche,en train de procéder à quelques rites sacrés et mystérieux.Photo cédée au domaine public, et ce, partout dans le monde par son auteur: Daveahern.
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L`enclos funéraire.
Plusieurs cavités de moindre importance que les trous d`Aubray et près de ceux-ci, ont été découvertes. Cinquante-cinq tombes se trouvaient à l`intérieur de ces trous, et elles portaient la marque de l`incinération. Ces tombes crématoires auraient été utilisées à la fin de la phase 1, c`est-à-dire, pendant deux siècles. Il est probable que d`autres tombes existent encore dans le secteur.
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Le double cercle de pierres bleues.
Il s`agit de deux cercles concentriques, de trente-huit cavités chacun, et situés au centre du site. Ces cavités servaient sans doute à accueillir des menhirs de pierres bleues, qui ont complètement disparus aujourd`hui. il y avait six menhirs également dans l`entrée. Ces menhirs sont des pierres dolérites, de la roche de magma, de couleur bleu-vert, avec des taches blanches ou rosées. Ces pierres provenaient du pays de Galles et étaient probablement transportées par mer. A l`avant plan de cette photo, on voit deux pierres bleues, enfin, une d`elles au moins semble bleue. Vous remarquerez les linteaux suspendus qui sont bien alignés au coude à coude, et cette perfection donnait l`apparence d`un beau cercle. Cette photo est cédée au domaine public, et ce, partout dans le monde par son auteur: Kristian H. Resset.
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Le cheval de Dalécarlie. Suède.
L`histoire du cheval de Dalécarlie remonte au dix-huitième siècle. On attribue son origine aux soldats. Durant l`hiver 1716, le roi Charles V11 de Suède menait de lourds combats contre plusieurs pays d`Europe et les soldats demeuraient chez les habitants de la ville de Mora. La nourriture se faisait rare et de plus, l`hiver était rude. Un soldat s`amusa à sculpter un cheval dans un morceau de bois, ensuite il l`offrit au plus jeune enfant de la famille chez qui il demeurait. Pour le remercier, la mère de l`enfant, lui offrit un bol de soupe. Le soldat sculpta un autre cheval et se vit offrir un autre bol de soupe. Les autres soldats aux alentours, se mirent à en faire autant, en échange de nourriture. Au début, les figurines étaient en bois brut. Au dix-neuvième siècle, on se met à les peindre pour les rendre plus jolies. A cause de la présence de mines de cuivres dans les environs, on opta pour le rouge comme couleur de fond. On rajouta par dessus ce rouge, d`autres motifs de couleur vive. Le cheval de Dalécarlie devint de plus en plus populaire lorsqu' ìl fut choisi pour figurer sur le stand de la Suède lors de l`exposition de Paris au dix-neuvième siècle. Depuis, l`art de sa fabrication se transmet de génération en génération et il est une tradition toujours très vivante en Suède. Il est un symbole non-officiel de ce pays et les touristes l`achètent volontiers. Sa fabrication va comme ceci. Sur un bloc de bois, on trace la silhouette du cheval. Ensuite, ces blocs sont confiés à des artisans qui sculptent à la main, les chevaux. Par la suite, ils repartent vers l`atelier où ils sont immergés dans de la peinture rouge, à trois reprises. Le bois utilisé pour leur fabrication est le pin. Il doit sécher 3 ou 4 semaines avant l`étape de la peinture, pour éviter qu`il ne fasse fendiller la peinture. Il ne reste plus qu`à peindre les motifs. Ce sont des artistes qui s`en occupe. Chaque cheval est unique puisque tout le travail est fait à la main. Maintenant, on en peint de toutes les couleurs, mais le cheval rouge traditionnel demeure le plus vendu. source et photo: Wikipedia.
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